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Carte blanche au Collectif jeune cinéma / Carte blanche

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Le Veau d'or
Le Veau d'or - Stéphane Marti
- Expérimental

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France - 2001 - 30 mn - Réalisation : Stéphane Marti - Décor : Sculpture et autoportrait de Michel Journiac - Son : Conception sonore, Berndt Deprez à partir du Faust de Gounod - Interprétation : Baptiste Lamy, Patrice Losio, Marcel Mazé -

Contact : Collectif Jeune Cinéma - 71, rue Robespierre - 75018 Paris - Tél : 01 44 85 00 72/ 09 83 39 09 59 - e-mail : admin@cjcinema.org - web : www.cjcinema.org

Corum - Salle Einstein Lundi 28 octobre 2002, 20 h 00
Corum - Salle Einstein Mercredi 30 octobre 2002, 14 h 00




Le Veau d’or fait partie d’une trilogie super 8 commencée par Stéphane Marti en 1999. Dans ce troisième volet (après « Les Métaphores d’Alex » et « Le Rituel de Fontainebleau »), on retrouve le thème essentiel du corps au sein d’une dramaturue baroque et d’un questionnement sur le désir, la mort et les identités sexuelles.


 
 
Stéphane Marti

né le 07/01/51 à Alger
Cinéaste majeur d'une des tendances les plus importantes du cinéma expérimental français des années 70, proche de l'art corporel: "L'Ecole du corps", Stéphane Marti fait de son art le lieu d’invention d’une pratique filmique baroque et flamboyante où se mêlent identités troubles et fastes rituels d'un imaginaire homo érotique.
Fervent défenseur du médium super-8 qui allie à la splendeur visuelle l'indépendance artistique et contre-culturelle, il conçoit une esthétique opératique de l’intimité, dont les décadences maniéristes et les forces telluriques, les ors et les pourpres, forgent les coordonnées chiffrées de ses «petits théâtres du corps».
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Cinéaste/plasticien né en 1951 à Alger, Stéphane Marti concentre ses recherches sur le cinéma expérimental comme pratique plastique détachée des codes du cinéma narratif dominant.
Rattaché d’emblée par la critique à l’« école du corps », son cinéma tourne principalement autour des questions du corps et du sacré, des troubles de l’identité sexuelle et des stratégies du désir. Ciselant toujours ses films par le super 8 qui allie splendeur visuelle à l'indépendance artistique et contre-culturelle, il conçoit une esthétique opératique de l'intimité dont les décadences maniéristes, les forces telluriques, les fastes rituels, les ors et les pourpres forgent les coordonnés baroques et flamboyantes de ses « petits théâtres du corps ».

 
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