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La perdición de los hombres
La perdición de los hombres - Arturo Ripstein
- Fiction

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Mexique/Espagne - 2000 - 1 h 38 mn - Réalisation : Arturo Ripstein - Production : Laura Imperiale, Jorge Sánchez - Scénario : Paz Alicia Garcíadiego - Image : Esteban de Llaca, Guillermo Granillo - Décor : Claudio « Pache » Contreras - Montage : Carlos Puente - Musique : Leoncio Lara « Bon » - Son : Andrés Franco - Interprétation : Patricia Reyes Spíndola, Rafael Inclán, Luis Felipe Tovar, Carlos Chávez, Leticia Valenzuela, Alejandra Montoya, Eligio Meléndez, Ernesto Yáñez -



Corum - Opéra Berlioz Vendredi 3 novembre 2000, 21 h 30




Une chanson traditionnelle mexicaine dit que « ces satanées femmes sont la perte des hommes… » Mais la cause de la perte du personnage principal de cette histoire est plus précisément deux femmes et... le baseball. Deux femmes qui se battent pour le cadavre de celui qu'elles ont partagé dans la vie, et un jeu aux conséquences imprévisibles…


 
 
Arturo Ripstein

Réalisateur né à Mexico en 1943. Il fait des études de cinéma à l'université nationale autonome de Mexico, avant la création du Centro Universitario des Estudios Cinematográficos. Son père étant producteur, Arturo Ripstein découvre l'aspect économique du cinéma dès son enfance. Il devient très jeune assistant-réalisateur de Luis Buñuel pour L'Ange exterminateur et d'autres cinéastes. Il réalise son premier film en 1965, Tiempo de morir, tourné dans une ambiance de western sur un argument de Gabriel García Márquez. Après des expériences décevantes, il s'oriente un temps vers la réalisation d'œuvres expérimentales. Le Château de la pureté (1972) marque son retour au cinéma. Il enchaîne ensuite assez régulièrement les réalisations dont les dernières en date ont eu les honneurs du Festival de Cannes : La Reine de la nuit (1994), Pas de lettre pour le colonnel (1998), C'est la vie... (2000).

 
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