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Films Ripstein

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La Veuve noire
La viuda negra - Arturo Ripstein
- Fiction

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Mexique - 1977 - 1 h 30 mn - Réalisation : Arturo Ripstein - Scénario : Vicente Armendáriz, Ramón Obón, Francisco del Villar d'après la pièce Debiera haber obispas, de Rafael Solana - Image : Jorge Stahl Jr - Décor : Salvador Lozano Mena - Montage : Rafael Ceballos - Musique : Miguel Pous, chansons de Luis Arcaraz - Son : Alfredo Solís - Interprétation : Isela Vega, Mario Almada, Sergio Jiménez, Hilda Aguirre, René Casados, Gerrado del Castillo, Leonor Llausas, Ana Ofelia Murguía -



Centre Rabelais Mercredi 1 novembre 2000, 12 h 00
Corum - Opéra Berlioz Dimanche 5 novembre 2000, 14 h 00




L'enfance de l'orpheline Matea s'est déroulée dans une ambiance religieuse. Adulte, elle travaille comme gouvernante chez le père Feliciano. Leonardo, médecin du village, harcèle Matea. Comme elle le repousse, il fait courir le bruit qu'elle a des relations sexuelles avec le curé. Ce dernier est pressé par les gens du village de chasser Matea. Le prêtre et la gouvernante finissent par devenir amants. Feliciano tombe malade, mais personne dans le village ne veut s'occuper de lui. Matea l'assiste dans son agonie, l'enterre et finit par prendre sa place à l'église, car elle connaît les secrets de confession de tout le monde : le prêtre les lui a révélés avant de mourir.


 
 
Arturo Ripstein

Réalisateur né à Mexico en 1943. Il fait des études de cinéma à l'université nationale autonome de Mexico, avant la création du Centro Universitario des Estudios Cinematográficos. Son père étant producteur, Arturo Ripstein découvre l'aspect économique du cinéma dès son enfance. Il devient très jeune assistant-réalisateur de Luis Buñuel pour L'Ange exterminateur et d'autres cinéastes. Il réalise son premier film en 1965, Tiempo de morir, tourné dans une ambiance de western sur un argument de Gabriel García Márquez. Après des expériences décevantes, il s'oriente un temps vers la réalisation d'œuvres expérimentales. Le Château de la pureté (1972) marque son retour au cinéma. Il enchaîne ensuite assez régulièrement les réalisations dont les dernières en date ont eu les honneurs du Festival de Cannes : La Reine de la nuit (1994), Pas de lettre pour le colonnel (1998), C'est la vie... (2000).

 
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