Logo Cinemed

retour

Le Colosse de Rhodes
Il colosso di Rodi - Sergio Leone
- Fiction

bottom_top_bar
 

Italie - 1960 - 2 h 25 mn - Réalisation : Sergio Leone - Production : Eduardo de la Fuente, Cesare Seccia - Scénario : Ennio De Concini, Luciano Martino, Carlo Gualtieri, Cesare Seccia, Age Cavioli, Luciano Chittarini, Sergio Leone, Duccio Tessari - Image : Antonio L. Ballesteros, Emilio Forsicot - Décor : Ramiro Gomez, Jesus Mateos - Montage : Eraldo Da Roma - Musique : Angelo Francesco Lavagnino - Interprétation : Rory Calhoun, Lea Massari, Georges Marchal, Mabel Karr, Conrado San Martin, Angel Aranda, Jorge Rigaud, Roberto Camardiel, Mimmo Palmara -



Centre Rabelais Dimanche 25 octobre 1998, 18 h 00
Centre Rabelais Lundi 26 octobre 1998, 18 h 00
Corum - Opéra Berlioz Vendredi 30 octobre 1998, 16 h 00




Un jeune général grec venu se reposer dans l'île de Rhodes, se trouve mêlé sans le vouloir à un complot visant à renverser le tyran Sersès qui a fait ériger, comme symbole de sa richesse et de sa puissance, un colosse à l'image d'Apollon à l'entrée du port de Rhodes. En fait, Sersès a plus à craindre des menées subversives de son premier ministre qui prépare sa succession à l'aide de mercenaires phéniciens et de la fille adoptive de l'inventeur du colosse. Le général grec prend finalement fait et cause pour le peuple de Rhodes que dirige un sympathique groupe de rebelles...


 
 
Sergio Leone

Réalisateur italien né en 1929. Fils du metteur en scène Roberto Roberti, il débute dans le cinéma comme réalisateur de seconde équipe dans des coproductions hollywoodiennes comme Hélène de Troie. Il termine le tournage des Derniers jours de Pompéi remplaçant Mario Bonnard malade. Il signe en 1961 le péplum Le Colosse de Rhodes puis initie la "trilogie des dollars" en 1964 avec Pour une poignée de dollars suivi par Et pour quelques dollars de plus (1965) et Le Bon, la brute et le truand (1967). Son nom est depuis indissociablement lié à ce que l’on a appelé le "western spaghetti". Maniérisme esthétique et stylisation trouvent leur aboutissement dans Il était une fois dans l’Ouest (1968). Il était une fois... la révolution (1971), mal reçu par le public, précède dix années de silence. Leone signe son dernier film en 1984, Il était une fois en Amérique, grande fresque sur le New York des années vingt. Il est mort en 1989 à Rome.

 
bottom_bar