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Films Festival "Jeune public"

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La Gloire de mon père
La Gloire de mon père - Yves Robert
- Fiction

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France - 1990 - 1 h 45 mn - Réalisation : Yves Robert - Scénario : Jérôme Tonnerre, Louis Nucera, Yves Robert, d'après Souvenirs d'enfance, de Marcel Pagnol - Image : Robert Alazraki - Décor : Jacques Dugied - Montage : Pierre Gillette - Musique : Vladimir Cosma - Interprétation : Philippe Caubère, Nathalie Roussel, Didier Pain, Thérèse Liotard, Julien Ciamaca, Paul rauchet -






Fils d'une couturière et d'un instituteur, le petit Marcel Pagnol apprend à lire et à écrire avant l'âge. Son enfance, qui correspond aux première années du siècle, est bercée par une vie familiale harmonieuse, avec les visites de tante Rose et de son récent époux, l'oncle Jules. Celui-ci et le père de Marcel sympathisent au point d'acheter en commun une petite maison, pour les vacances, dans un village proche. Pour Marcel ce sera l'occasion de découvrir les joies de la campagne et de vivre de multiples aventures.
La solidité de l'adaptation et de la mise en scène, la justesse des personnages et la brillance de certains comédiens font de ce film un excellent outil de vulgarisation de l'œuvre de Pagnol.


 
 
Yves Robert

Né en 1920 à Saumur. Monté très jeune à Paris, il multiplie les emplois les plus divers. Il débute sa carrière artistique dans les cafés-théâtres où il est remarqué pour ses qualités de mime et d'imitateur. Sa première apparition au cinéma remonte à 1948. René Lucot lui donne un rôle dans Les Dieux du dimanche. Puis Marcel Carné l'engage pour Juliette ou la Clé des songes (1950). Il enchaîne ensuite quelques belles réussites, dont Les Grandes Manoeuvres (René Clair, 1955) et La Jument verte (Claude Autant-Lara, 1959). Il devient rapidement metteur en scène et s'impose avec Ni vu no connu (1958) adapté de Marcel Aymé. Il a souvent adapté des classiques de la littérature pour le cinéma:Louis Pergaud (La Guerre des boutons, Prix Jean Vigo 1961) et Marcel Pagnol (La Gloire de mon père et Le Château de ma mère en 1990). Il doit ses succès les plus marquants à sa collaboration avec Jean-Loup Dabadie : Un éléphant, ça trompe énormément (1976) et Nous irons tous au paradis (1977). Citons aussi parmi ses grandes réussites Alexandre le bienheureux (1961), Le Grand Blond avec une chaussure noire (1972). Il est décédé en 2002.

 
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