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Henry Barakat et Faten Hamama (Egypte)

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Pas de condoléances pour les femmes
Wa la azzaa l'ellsaydate - Henry Barakat
- Fiction

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Égypte - 1979 - 2 h - Réalisation : Henry Barakat - Scénario : Henri Barakat, samir Abdel Azim, Katia Sabet - Image : Wahid Farid - Montage : Rachida Abdel Salam - Musique : Hani Chenouda - Interprétation : Faten Hamama, Ezzat El Alaili, Gamil Rateb -



Corum - Salle Einstein Samedi 23 octobre 1993, 18 h 00
Corum - Salle Pasteur Mercredi 27 octobre 1993, 14 h 00
Corum - Salle Einstein Lundi 1 novembre 1993, 12 h 00




Suite à son divorce avec Rawya, Hamdi se remarie avec une femme beaucoup plus jeune que lui. Le couple se sépare vite et Hamdi essaie de retrouver son ancienne compagne qui travaille dans un journal pour élever sa fille. Mais elle ne veut rien savoir…


 
 
Henry Barakat

Né au Caire en 1914, Henry Barakat vient en France pour approfondir sa connaissance du Septième art. A son retour, il travaille comme monteur puis comme assistant-réalisateur avant de devenir lui-même réalisateur. Il réalise au cours d'un demi-siècle de carrière, quelques chefs-d'œuvre du cinéma égyptien dont L'Appel du courlis (1959) et Le Péché (1965). Il adapte de grands écrivains égyptiens comme Taha Hussein, Ehsan Abdel Koddous, Tewfik Al-Hakim… Il met aussi son talent de réalisateur au service de chanteurs célèbres, comme Farid El-Atrache et Abdel Halim Hafez. Il réalise, au Liban, deux des trois films musicaux de la chanteuse libanaise, Sabah, ainsi que le chanteur Meharram Fouad. Il fait tourner les meilleures actrices égyptiennes : Souad Hosni qui fait ses premiers pas chez lui ou Faten Hamama.

 
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