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Italie - 1975 - 1 h 45 mn - Réalisation : Luigi Comencini - Scénario : Age, Scarpelli d'après le roman homonyme de Carlo Fruttero et Franco Lucentini - Image : Luciano Tovoli - Musique : Ennio Morricone - Interprétation : Marcello Mastroianni, Jaqueline Bisset, Jean-Louis Trintignant, Aldo Reggiani, Pino Caruso -
Rabelais Mercredi 28 octobre 1992, 21 h 00
Corum - Pasteur Samedi 31 octobre 1992, 10 h 00
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Turin. L'architecte Garrone est trouvé mort dans son étude, le crâne défoncé par un phallus de pierre simili-pompéien. Un témoin affirme avoir croisé peu avant le meurtre une femme blonde vêtue d'un imperméable transparent. L'enquête est confiée aux inspecteurs De Palma et Santamaria. Ce dernier, un provincial venant du sud, est chargé des investigations délicates. Un couple de domestiques a apporté une lettre qui rend suspecte deux personnes de la haute société : la belle Anna Carlo Dosio, épouse d'un riche architecte, et son ami Massimo Campi, un oisif qui a une liaison discrète avec le jeune Lello Riviera... |
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Luigi Comencini
Né à Saló en 1916. Il étudie l'architecture au Politecnico de Milan et se lie d'amitié avec Alberto Lattuada. Tous deux font de la critique cinématographique puis, avec Mario Ferrari, créent un organisme de conservation des films : la Cineteca Mario Ferrari qui devient la Cineteca italiana. Il réalise un court métrage en 1937 (La novelleta), fait un peu d'assistanat, interrompu par la guerre. En 1946, il signe le documentaire Bambini in citta. Proibito rubare, son premier long métrage, en 1948, est aussi consacré à l'enfance, thème qui court tout au long de sa filmographie (L'Incompris, Pinocchio, Eugenio, Un enfant de Calabre). Si ses premiers films constituent de l'honnête cinéma commercial, Comencini s'affirme dans la comédie mi-rose, mi-noire avec L'Argent de la vieille (1972), comédie qu'il sait pimenter d'un aimable érotisme (Mon Dieu, comment suis-je tombée si bas ?) sans exclure la critique sociale (Le Grand Embouteillage). Il est mort en 2007 à Rome.
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