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Corum - Einstein Mardi 27 octobre 1992, 14 h 00
Corum - Einstein Samedi 31 octobre 1992, 16 h 00
Le regard de cinq cinéastes arbes sur la guerre du Golfe. Différents par leurs œuvres et leurs itinéraires respectifs, ils ont en commun le même souci d'authenticité : C'est Shéhérazade qu'on assassine de Nouri Bouzid (Tunisie) ; A la recherche de Saïma de Nejia Ben Mabrouk (Tunisie) ; Eclipse d'une nuit noire de Borhane Alaouié (Liban) ; Le Silence de Mostafa Derkaoui (Maroc) ; Hommage par assassinant de Elia Solieman (Palestine) |
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Nouri Bouzid
Né en 1945 à Sfax. Après plusieurs stages à la télévision tunisienne, Nouri Bouzid étudie la réalisation cinématographique à l'INSAS de Bruxelles de 1968 à 1972 et réalise comme film de fin d'étude le court métrage Duel. Il est par la suite assistant réalisateur sur une quinzaine de films dont Aziza, Les Anges, Les Aventuriers de l'arche perdue… Il tourne son premier long métrage en 1986, L'Homme de cendre, sélectionné à Cannes et couronné dans plusieurs festivals. Parallèlement à son travail de cinéaste (il réalise Les Sabots en or en 1989 et Bent Familia en 1997), il participe à l'adaptation et aux dialogues de plusieurs films-clés du cinéma tunisien des années quatre-vingt-dix dont La Nuit de la décennie (B. Babai), Halfaouine (F. Boughedir), Les Silences du palais (M. Tlatli).
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Nejia Ben Mabrouk
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Borhane Alaouié
Né le 1er avril 1941 dans le sud du Liban. Il suit des études de cinéma à l'INSAS de Bruxelles. Il réalise un court métrage Affiche contre affiche puis son premier long métrage, Kafr Kassen, en 1974. Il signe également plusieurs documentaires : Il ne suffit pas que Dieu soit avec le pauvre (1978), Beyrouth la rencontre (1981), Lettre du temps de guerre (1984).
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Mostafa Derkaoui
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