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Sélection 2016 : courts métrages

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L'Architecte de Saint-Gaudens
L'Architecte de Saint-Gaudens - Serge Bozon, Julie Desprairie
- Documentaire

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France - 2015 - 29 mn - Réalisation : Serge Bozon, Julie Desprairie - Production : Vladimir Léon - Scénario : Julie Desprairies - Image : Céline Bozon - Montage : François Quiqueré - Musique : Mehdi Zannad - Son : Yves-Marie Omnès - Interprétation : Mehdi Zannad, Elise Ladoué, Hélène Iratchet, Arnold Pasquier, Philippe Saunier-Borrell, les habitants de la ville de Saint-Gaudens -

Contact : Les Films de la Liberté - 41 rue Saint-Merri - 75004 Paris - Tél : 01 42 74 05 97 - e-mail : lesfilmsdelaliberte@orange.fr

Centre Rabelais Mardi 25 octobre 2016, 12 h 00
Centre Rabelais Vendredi 28 octobre 2016, 16 h 00




Film musical et chorégraphique. Un architecte chante, au gré de ses promenades, les bâtiments qu’il a construits dans une petite ville des Pyrénées. Il est accompagné des habitants, qui chantent et dansent dans leurs espaces de vie, d’étude et de travail. Un dialogue se noue entre l’architecte et la population sur le métier d’architecte, ses paradoxes et ses lois.


 
 
Serge Bozon

Né en 1972, Serge Bozon est réalisateur, critique (Trafic, Lettre du Cinéma, Cahiers du cinéma, Transfuge, Vertigo, etc.) et il est apparu comme acteur dans une quarantaine de films (récemment chez Adolpho Arrietta, Paul Vecchiali, Pierre Léon, Bertrand Bonello, Aurélia Georges, Mathieu Almaric, Pascale Bodet, Axelle Ropert…). Il a réalisé L’Amitié (1998), Mods (2003), La France (2007), L'imprésario (2011), Tip Top (2013), L’Architecte de Saint-Gaudens (co-réalisé avec Julie Desprairie, 2015).

 
Julie Desprairie

Chorégraphe née à Paris en 1975, elle crée son premier spectacle en 1998 dans des carrières de pierre. Elle affirme cette démarche contextuelle en l’appliquant à plusieurs architectures modernes et contemporaines. Chaque bâtiment investi est l’objet d’une étude détaillée des intentions de l’architecte, qui guide la forme spectaculaire que prendra son projet. Le corps des danseurs sert l’exploration minutieuse des caractéristiques du site choisi. S’appuyant également sur l’histoire et les usages des bâtiments, elle implique habitants et usagers des espaces mis en scène. Elle a poursuivi cette démarche de chorégraphies in situ et participative avec des amateurs en coréalisant trois films : Après un rêve en 2012, avec Louise Narboni, Cinq points de vues autorisés sur les Courtillières en 2013, avec Vladimir Léon et L’Architecte de Saint-Gaudens en 2015, avec Serge Bozon.

 
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