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L'Homme qui aimait les femmes
L'Homme qui aimait les femmes - François Truffaut
- Fiction

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France - 1977 - 2 h - Réalisation : François Truffaut - Production : Marcel Berbert - Scénario : François Truffaut, Michel Fermaud, Suzanne Schiffman - Image : Nestor Almendros - Musique : Maurice Jaubert - Interprétation : Charles Denner, Geneviève Fontanel, Brigitte Fossey, Nelly Borgeaud, Nathalie Baye -



Corum - Salle Pasteur Dimanche 1 novembre 2009, 16 h 00




Noël 1976. Il n'y a que des femmes pour accompagner Bertrand Morane à sa dernière demeure. Avant sa mort, il avait écrit une autobiographie, Le Cavaleur, où il racontait une vie entièrement consacrée aux femmes : de ses frustrations d'enfant avec une mère absente à sa première expérience avec une prostituée, à ses innombrables conquêtes, jusqu'à son histoire avec Geneviève Bigey.


 
 
François Truffaut

François Truffaut, né en 1932 à Paris et mort en 1984 à Neuilly-sur-Seine, est un réalisateur, scénariste, producteur et critique de cinéma français. Après une enfance marquée par l'école buissonnière et sa désertion de l'armée, sa rencontre avec André Bazin lui permet d'intégrer la rédaction des Cahiers du cinéma. Il réalise les courts métrages Une Visite (1954) et Les Mistons (1957) et son premier film, Les Quatre cents coups (1959), participe à l ‘émergence de la Nouvelle Vague et ouvre le cycle Antoine Doinel qui fait la réputation du cinéaste : L'Amour à vingt ans (1962), Baisers volés (1968), Domicile conjugal (1970), L'Amour en fuite (1978). Cinéaste de la sensibilité, ses films, regards émouvants sur l'enfance comme L'Enfant sauvage (1970) ou L'Argent de poche (1976) sont souvent teintés d'autobiographique. Du polar (Tirez sur le pianiste, 1960) au film noir (La mariée était en noir, 1968 ; La Sirène du Mississipi, 1970) en passant par la science-fiction (Farenheit 451, 1966), il alterne les genres avec aussi bien des sujets originaux que des adaptations littéraires (Jules et Jim, 1961). Qu'il évoque le deuil dans La Chambre verte (1978) ou décrive les mécanisme de la passion avec Les Deux Anglaises et le continent (1971) ou L'Histoire d'Adèle H. (1975), son œuvre est marquée par sa passion pour les actrices (L'Homme qui aimait les femmes, 1977) et le cinéma (La Nuit américaine, 1973). Ses derniers films, Le Dernier Métro (1980), La Femme d'à côté (1981) et Vivement dimanche (1982) sont conçus par le cinéaste comme des " actes d'amour " pour ses acteurs. Mondialement célébrée, notamment aux États-Unis, son œuvre fait l'objet d'un véritable culte. Parmi ses écrits abondants sur le cinéma, il publie un livre d'interviews avec Alfred Hitchcock en 1966, qui fait référence.

 
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