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Adieu Bonaparte
Al wida ya Bounabart - Youssef Chahine
- Fiction

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Égypte/France - 1985 - 2 h - Réalisation : Youssef Chahine - Production : Antonio Cardenal, Luis Pérez-Fontán - Scénario : Youssef Chahine, Yousri Nasrallah - Image : Mohsen Nasr - Décor : Gabriel Karraze - Montage : Luc Barnier - Musique : Gabriel Yared - Interprétation : Michel Piccoli, Mohsen Mohieddin, Patrice Chéreau -



Corum - Opéra Berlioz Mercredi 26 octobre 2016, 21 h 30




En 1798, le général Bonaparte gagne la bataille des pyramides. Tolérant et humaniste, il se pose en libérateur de l'Égypte contre l'oppression turque. Il est accompagné du général Caffarelli, un personnage haut en couleurs, homme de cœur et d'esprit. Ce dernier se lie d'amitié avec deux jeunes Égyptiens, Aly, un poète, et son jeune frère Yehia. Bientôt Bonaparte se révèle un conquérant sans scrupule et la résistance s'organise. Devant Saint-Jean-d'Acre, Caffarelli, grièvement blessé accuse Bonaparte d'avoir trahi l'idéal révolutionnaire. Il meurt laissant Aly à sa tristesse, mais fort de l'humanisme qu'il a su lui transmettre.


 
 
Youssef Chahine

Né en 1926 à Alexandrie, Youssef Chahine se rend aux États-Unis pour étudier le cinéma et l'interprétation à la Pasadena Play House. Deux ans après son retour au Caire, il fait ses débuts de réalisateur avec Papa Amine (1950). Dès ses premiers films, il introduit dans les mélodrames et les comédies musicales des éléments psychologiques, réalistes et sociaux. Sa carrière est ensuite marquée par de nombreux chefs-d'œuvre (Gare centrale, 1958 ; La Terre, 1969 ; Le Moineau, 1973 ; Alexandrie, pourquoi ?, 1978 ; Le Sixième jour, 1986 ; Le Destin, 1997). Alexandrie… New York (2003) a été présenté à Un Certain Regard au festival de Cannes en 2004. Le Festival de Montpellier lui a rendu un hommage en 1982 et 1983. Il meurt le 27 juillet 2008 au Caire.

 
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